Duhe ibitekerezo

Urashaka gutanga ibitekerezo?twandikire kuri iranzinone@yahoo.fr/iranzinejo@gmail.com



Murakoze

mercredi 29 décembre 2010

Stratégie nationale de santé de la reproduction

La Santé de la reproduction est un état de complet bien-être tant physique mental que social de la personne humaine, et non pas seulement l'absence de maladie ou d'infirmités ; cela suppose que les hommes et les femmes sont en mesure d'avoir une vie sexuelle satisfaisante et sans danger ; qu'ils sont en mesure de se reproduire et ont la liberté de décider de l'opportunité et du moment de le faire, ainsi que du nombre de leurs enfants.
Pour y parvenir, les hommes et les femmes ont le droit d'être informé sur les méthodes de la régulation de naissances autorisées par la loi et de leur choix, du droit d'accès des femmes aux services de santé pour une bonne prise en charge de la grossesse et de l'accouchement. Les soins de la santé en matière de reproduction englobent une multitude de méthodes, de technique et services qui contribuent à la santé et au-delà, en prévenant et en résolvant les problèmes liés à la reproduction.

Les objectifs majeurs de la santé de la reproduction consistent à promouvoir entre les hommes et les femmes des relations sexuelles saines, à les responsabiliser librement du choix de leur décision du moment et de la fréquence dont ils veulent avoir des enfants. La stratégie nationale en santé de la reproduction pour la période 2000-2007 couvre six composantes, à savoir :

La maternité sans risque et les soins au nouveau né ;
La santé sexuelle et la santé de la reproduction des adolescents ;
La planification familiale ;
La lutte contre les maladies sexuellement transmissibles y compris le VIH/SIDA ;
La prévention et la prise en charge des troubles gynécologiques ;
La violence à l'égard des femmes et des enfants
Au regard des objectifs opérationnels, le programme de la santé de la reproduction se propose la qualité de vie des populations par :

Le plaidoyer en faveur de la santé de la reproduction afin d'obtenir l'adhésion des décideurs à augmenter le budget alloué au programme, et la promotion du statut de la femme ;
L'accès équitable aux services de santé et aux prestations d'accompagnement social de qualité pour tout le monde, y compris les jeunes et les personnes âgées ;
L'intégration des services et activités, notamment ceux relatifs à la santé de la reproduction, et aux autres problèmes de santé en vue de promouvoir la santé.
Le renforcement des capacités du personnel conformément au plan national de développement socio sanitaire (PNDS) ;
L'information, éducation et la communication/mobilisation sociale relative à la santé de la reproduction, en vue d'améliorer les connaissances et l'environnement nécessaires à la prise de décision favorable à la santé de la reproduction chez les jeunes et les adolescents en particulier ;
La promotion de la recherche opérationnelle, et le renforcement du système d'information afin de disposer des statistiques fiables sur une vaste gamme d'indicateurs de santé de la reproduction et l'évaluation des progrès réalisés ;
La conscientisation de l'homme en matière de santé de la reproduction par des informations adéquates en vue d'assurer son autonomisation.
La participation communautaire dans la gestion du système de santé avec un accent particulier sur l'implication de la femme ;
La mise en œuvre de ces activités dans la quasi-totalité des formations sanitaires de première ligne, les établissements para-publics, privés les confessions religieuses et les ONGs/Associations.
Les problèmes de la santé sexuelle et de la reproduction constituent une priorité de la politique nationale de santé. Le PNDS offre un cadre favorable à la prise en charge de ces problèmes de santé. La réalisation optimale des activités liées à la santé de la reproduction passe par la levée des différentes contraintes identifiées. Pour ce faire, un véritable plaidoyer doit être engagé.

source.www.santetropicale.com

1 commentaire:

  1. KO ABIGEME BASHOBORA GUSAMA IMBANYI BATAYIPFUJE NUKO BATAZI KO UBURYO BWO KUZIRINDA BUDAHARI? CANKE BATINYA KUBURORNDERA? KUKI BASAMARA BAZIKO INGARUKA MBI VIH/SIDA IST NA GROSSESSE NON DESIREE BITAHA IWABO NUKWIRUKANWA NABAVYEYI BIKABASHIKIRA. UMUHUNGU WE ABA YINUMIYE CANKE YAMWIHAKANYE. IL FAUT KO BACA UBWENGE BIGE AMSHURE NA KAMINUZA BARONKE AKAZI BATARASAMA INDA BATIPFUZA AHO BAZOSHOBORA KWEGEREZA EGALITE SOCIOECONOMIQUE VIS A VIS DES GARCONS. SINON NTIBIKUNDA KUBATEZA IMBERE BACIYUMVIRAKO TOUT VIENDRA DU GARCON QUI NE CHERCHE QUE LES PLAISIRS CHARNELS POUR ASSOUVIR LEURS BESOINS INSTINCTIFS PONCTUELS.

    RépondreSupprimer